Le recyclage des lampes basse consommation, pensons-y…

J’ai participé il y a quelques semaines à une « table ronde -blogueurs » organisée par Récylum, l’éco-organisme en charge du recyclage des lampes (Note perso : c’est très bien, ce concept de table ronde : idéal pour s’informer, échanger, poser des questions ou faire des suggestions… Bonnes notes également pour les membres de Récylum, vraiment engagés, recherchant à informer sur leur mission et pas sur leur nom, et leur agence, efficace !).

Bon, je n’aurai pas la prétention de dire que je connais tout sur le recyclage en général, mais lors de cette soirée, j’ai vraiment appris des choses sur le recyclage des lampes (ça tombe bien, c’était le thème !).

D’abord, quelques révisions :

– les lampes « classiques » à incadescence, ne se recyclent pas. Nous pouvons les jeter sans culpabiliser à la poubelle !

– les lampes basse consommation doivent être recyclées : parce que cela permet d’en récupérer des composants, notamment le mercure, présent en très faible quantité et des terres rares, qui peuvent être réutilisées.

Et si comme moi vous ne savez pas où déposer vos lampes usagées, sachez que tout magasin qui vous vend une lampe est tenu de vous reprendre l’exemplaire usagé (la règle du 1 pour 1, également valable pour les appareils électroménagers).  De plus, de nombreux magasins ont désormais (près de l’entrée) une Lumibox (la boîte que vous voyez sur la photo) qui permet de déposer vos lampes usagées. J’en ai repéré une dans le E. Leclerc breton où vont mes parents le WE dernier. Du coup, toute ma famille est informée 😉
Si le sujet vous passionne, ou si vous voulez des infos complémentaires, rendez vous sur Malampe.org !

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  1. #1 par Raphaël le 3 novembre 2010 - 09:39

    Il se peut que mon post ne soit pas à la bonne place toutefois je voulais vous remercier pour votre très utile Blog. Je l’ai parcouru en quelques jours et j’y est trouvé une source d’information très précieuse. Je suis actuellement en création d’entreprise dans le secteur de la communication spécialité viticole en Bourgogne et je me lance au premier trimestre 2011. Aussi je voulais avoir un avis sur le statut d’auto entrepreneur. Les rencontres que j’ai eu dans le cadre professionnel m’ont souvent déconseillé de prendre ce statut, par crainte de ne pas passer pour une entreprise dite « sérieuse ». Pour ma part je ne pense pas que cela soit rédhibitoire pour les clients (essentiellement pour ma part des PME) mais il se peut que cela les freine notamment pour la non facturation de la TVA. Qu’en pensez-vous ?
    Raphaël.
    PS : merci encore pour votre blog.

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    • #2 par Isabelle Prigent le 3 novembre 2010 - 14:45

      Merci Raphaël, votre commentaire me fait très plaisir !
      Concernant le choix du statut d’auto-entrepreneur, pas de souci par rapport aux clients que vous facturerez. Je n’ai jamais eu de problèmes sur ce point. Ce régime reste le plus souple (et le moins cher !) pour tester la viabilité de votre projet d’entreprise, je vous le recommande donc sans aucune hésitation.
      Vous rencontrerez bien sûr toujours des grincheux, qui critiqueront l’auto-entrepreneur, mais aussi le travail en solo, ou le fait que vous ne sachiez pas tout faire dans des délais ultra-rapides… mais ceux-là ne méritent pas que vous perdiez du temps à les écouter ;-). Ce qui comptera avant tout pour vos clients, c’est la qualité de votre travail.

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      • #3 par Raphaël le 4 novembre 2010 - 10:24

        Merci pour votre réponse qui me donne du coeur à continuer mon projet.
        Je pense aussi que c’est la qualité du travail qui prime et c’est la souplesse qu’offrait ce statut qui m’a fait choisir la solution de l’autoentreprise. Il permet de tester la viabilité du projet avec une prise minime de risque.
        Je continue à vous lire à travers votre très bon blog.
        Bien à vous.

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